Henri Lamoureux

Nicolas et enfants je vous offre mes sincères condoléances.

Chère Nicole, En ces moments difficiles je tiens à vous faire part de mes plus sincères condoléances.

Je suis de tout coeur avec toi, Nicole... Ce cher Henri allumé et à l'écoute d'autrui... Au revoir !

Chère Nicole, J'ai eu la chance de rencontrer Henri, il y fort longtemps. Votre amitié avec Agnès fut notre point de rencontre. Par la suite, c'est souvent dans le milieu communautaire... ou dans les allées du IGA que nous débattions de développement social et culturel, avec humour et dérision, mais toujours avec intelligence et avec engagement. Je t'offre Nicole toutes mes sympathies. Je t'embrasse affectueusement,

Mes condoléances aux proches d’Henri … pendant près de 30 ans j’ai côtoyé Henri à de nombreuses reprises dans le cadre de mon travail …j’ai parcouru nombre de ses livres portent sur la citoyenneté, l’action communautaire, le travail social … de même j’ai apprécié quelques uns ses romans … ses travaux sur la citoyenneté prennent une nouvelle importance au regard de la conjoncture actuelle … Merci Henri

Au nom de notre famille, je vous offre nos plus sincères condoléances. Nous pensons à vous.

Salut l'ami Henri. Toujours à l'écoute de tous, tu n'avais que de bons mots pour tous. Repose en paix.

Merci Monsieur Lamoureux. Depuis cette 1er rencontre en juin 1997 lors d’un conseil d’administration de la Régie régionale de santé, vous m’avez aidé et je vous ai suivi. Pour moi, vous avez toujours été parmi « Les meilleurs d’entre nous ». Toutes mes condoléances à Madame Côté et ses proches.

Mes sympathies pour Nicole et ses deux filles. Henri reste une partie importante de ma vie professionnelle, militante et amicale, depuis les années 70. Nos collaborations ont été stimulantes, critiques et sans complaisances, et toujours fructueuses. Mais je retiens aussi des occasions strictement amicales de réjouissance, comme une superbe prestation de la part de Henri à l'occasion de mes 50 ans, il ya 30 ans!

Chère Nicole, au cours de la dernière année, j’ai rencontré fréquemment au Renaissance. Nous étions toujours heureux de nous voir et nous rappeler les merveilleux moments que nous avons vécu ensemble, notamment lors de ses lancements de livres. Un en particulier reste cher à mon cœur car Henri avait eu la gentillesse d’inviter ma fille de 10 ans à jouer du violoncelle et ce fut la dernière visite de mon père…. Je ne peux imaginer toute la peine que tu ressens, mais sache que tu es dans mes pensées. Marie et Denis de Dunham